Et dans les montagnes, je suis une montagne

Dans « Y en los Montes, monte soy », José Manuel González nous transporte dans un paysage cubain où le temps semble s'arrêter. Les palmiers, symboles de résistance et de beauté, se dressent fièrement sous un ciel bleu infini, tandis que la mer murmure des histoires de voyages et de paradis perdus. Chaque coup de pinceau reflète la lumière vibrante de l’été, capturant l’essence tropicale d’une île où la nature est montrée à son meilleur. Cette œuvre n'est pas seulement un hommage au paysage cubain, mais une invitation à réfléchir sur le lien profond entre l'être et son environnement naturel.